Vacances...

(30 octobre)

C'est étrange, mais quand les profs sont en vacances, plus personne ne laisse le moindre commentaire sur ce blog. C'est vrai que la plupart des visiteurs sont profs (y compris les "professeurs des écoles"), aussi. Donc partis en vacances.
Alors que moi, je reste tranquillement chez moi. J'ai soigné mon angine, et je profite de l'absence des deux hommes les plus âgés pour ranger un peu la maison. Je me suis déjà débarrassée d'un bon mètre cube d'emballages et autres papiers (K. collectionne les bouteilles vides, et moi les revues stupides), d'autant de vieux vêtements (pas poubelle, non, Croix Rouge) et de quelques jouets en plastiques trop abîmés pour mériter d'être rangés. Je fais tout ça mollement, pendant que Numérobis dort, et entre deux promenades. Il fait si beau que ce serait dommage de rester enfermée à trier des vieux papiers!

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Cahier de vie

(29 octobre)

Maintenant, dans les maternelles (et peut-être au-delà), on fait des cahiers de vie. La maîtresse a expliqué qu'elle y collerait, toutes les trois semaines à peu près, un résumé des activités des enfants, et que nous, parents, on pourrait y mettre des photos, coller des feuilles mortes ramassées ou raconter ce qu'on fait pendant les week-ends. Ca peut servir pour des prises de paroles en classe, pour aider l'enfant à raconter, à partager une expérience.
Très bien.
Sauf que, la première fois qu'on a vu le cahier, c'était un vendredi soir du mois d'octobre. Il y avait, en première page, une feuille sur laquelle nous, les parents, étions vivement invités à raconter ce que nous faisions pendant que notre enfant est à l'école. D'accord, mais il le sait déjà. Le Pirate sait très bien où est le bureau de son papa et reconnaît ses collègues de travail dans la rue. Et il sait que je suis un genre de maîtresse. Et puis, il fallait écrire bien proprement, et là, j'étais fatiguée. J'ai remis le cahier dans le sac, après avoir lu le résumé des activités du mois de septembre, qui ne m'a rien appris, sauf les prénoms des copains dont on avait fêté l'anniversaire. Tout le reste, le Pirate avait su me le dire. Et les chansons qu'il chante ne ressemblent pas vraiment aux textes collés. Je comptais bien remplir cette première page le week-end, mais, hélas, le cahier n'est pas réapparu avant le lundi 23 octobre (avec des chansons que le Pirate ne chante pas non plus, mais bon...).
Et là, j'ai séquestré le cahier. Parce qu'il faut que je puisse mettre un petit résumé des vacances du Pirate, sinon, comment la maîtresse va-t-elle comprendre que "Kakoz" (tad-koz) et "Makoz" (mam-koz - oui, je sais, il y a une faute de breton, mais mes beaux-parents ne pratiquent pas cette langue) sont les grands-parents, qui habitent en Bretagne?
Il y a, me semble-t-il, quelque chose qui ne marche pas, avec ce cahier. Comment y mettre quoi que ce soit, si la maîtresse le garde? Et pourquoi le résumé des activités est-il si succint qu'il ne m'apprend rien? Je sais bien qu'elle n'a pas le temps d'écrire dix lignes. Mais franchement, si on la prend au mot, les enfants n'ont fait qu'une séance de peinture en un mois (en fait, deux, parce que, la première fois, le Pirate était rentré en me disant qu'il n'avait pas fait de "traces" - des empreintes). La prochaine fois, je ne suis pas sûre d'avoir l'explication de la fraise en gomettes et des champignons (les uns ont peint les pieds, les autres les chapeaux) et des escargots. Mon Pirate raconte au moins aussi bien que la maîtresse ce qu'il fait en classe. J'ai peut-être de la chance.

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Au marché

(28 octobre 2006)

Ce matin, je suis allée au marché, avec mon bébé dans son écharpe.
Et, c'est sûr, nous attirons les regards (ce n'est pas que je sois grande, mais les mamies sont encore plus petites que moi, alors Numérobis a les yeux juste à la hauteur des leurs...).
Chez l'apiculteur, je rends mes pots vides. Il me dit que j'ai un beau pullover, qu'il m'habille drôlement bien. C'est vrai que cette écharpe, on dirait un peu un pull avec une très grande encolure d'où sortiraient deux têtes. C'est sûrement la même impression qu'à eu la dame qui m'a dit "On dirait qu'il est sorti de vous." (En même temps, oui, hein, il est sorti de moi, mais pas par là.)
Et puis, il y a la mamie qui l'a trouvé beau, qui a voulu lui caresser la tête et qui a dit qu'il aimait bien ça (on va pas la contredire, mais bon, c'est un enfant, hein, pas un chat). Et la dame plus très jeune qui a trouvé qu'il avait l'air bien, comme ça, et que, de son temps, il n'y avait pas "ça", juste des sacs kangourous qui étaient drôlement moins pratiques (c'est elle qui le dit).
Donc voilà, nous sommes une publicité vivante pour l'écharpe de portage. Les gens ne connaissent pas, puisqu'ils ne savent pas comment nommer ce mode de portage. Ceux qui savent, ce sont ceux qui ont essayé, comme cette maman qui a fait remarquer à son fils d'environ deux ans, maintenant en poussette: "Oh, regarde le bébé dans l'écharpe, comme toi quand tu étais petit!" A quoi le petit garçon a répondu en attrapant sa chaussure, comme pour faire remarquer que le mien n'en avait pas.
J'attends le jour où une femme enceinte me demandera où je l'ai achetée...

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Brontosaure

(27 octobre)

Hier, vers 13h 30, le téléphone sonne.
Je décroche.
"Allô, bonjour, je voudrais parler à Madame B...
- C'est moi.
- Bla blabla, Eau-range, bla blabla, bla blabla. Vous avez la télévision par câble, ou par satellite?
- Je n'ai pas la télévision. (C'est vrai, d'abord, et il y a 5% des ménages français dans ce cas.)
- (un blanc) C'est votre domicile?
- Oui, c'est mon domicile, mais je n'ai pas la télévision.
- Vous ne regardez pas la télévision? (Elle est bornée, un peu, mais on note un subtil changement de verbe.)
- Ben non. Sauf quand je vais chez mes parents."
Du coup, elle a perdu tous ses arguments pour me vendre sa magnifique Laïvebox, elle était toute perdue, elle n'a même plus insisté à partir du moment où elle a su que je ne téléchargeais rien sur internet (moi, non; K. oui; mais elle a oublié de me demander si j'étais le seul usager du modem; désarçonnée, je vous dis.)
Et oui, au XXI ème siècle, il y a des gens qui ont internet sans avoir la télévision. Je peux parler au pluriel, on est au moins deux couples: je sais que Liliplum est dans le même cas.

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Bête et disciplinée

(26 octobre)

Et voilà, ça recommence. Je suis en vacances, et je suis malade. Une angine, ou une laryngite, j'irai voir le médecin cet après-midi si K. peut garder les enfants.
Il paraît que j'ai commencé petite, cette manie d'attendre les vacances pour être malade. En tout cas, en prépa, c'est ce que j'avais fait. Peut-être que le corps tient le coup jusqu'au moment où l'esprit considère que ce n'est plus nécessaire. J'étais épuisée, les microbes en ont profité.
Et le pire, c'est qu'on dirait que c'est héréditaire: le Pirate a trouvé le moyen, l'an dernier, de faire la varicelle pendant les vacances de Noël. Alors qu'il n'allait pas encore à l'école (mais ça m'a bien arrangée quand même, parce que nous étions chez mes parents, et qu'eux ont une baignoire, et pas nous). Ce sot, vacciné contre les oreillons, la rougeole et la rubéole, ne pourra même pas compter sur une maladie infantile pour rater l'école. A moins de faire une scarlatine. Et là, ce serait pas de bol pour moi, parce que, la scarlatine, c'est très long (au moins 15 jours), et que le ministère de l'éducation nationale n'octroie que deux généreux jours de congé pour enfant malade (quels que soient le nombre et l'âge des enfants).
Enfin, comme ça je consolide mon capital de jours de congés maladie, hein!

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Comment je fais

(25 octobre)

Une amie, une vraie de la vie qui existe, me demandait récemment comment je fais pour m'occuper de mes deux nains (elle n'a pas dit "nains"), préparer mes cours, et faire le trajet jusqu'à mon lycée. Et bien, c'est très simple, je ne fais pas.
D'abord, ce n'est pas moi qui fais la cuisine. Donc, le soir, pendant que K. est aux fourneaux, j'ai le temps de donner le bain du dernier, la douche du premier et le dernier biberon de Numérobis. Ensuite, le matin, je ne réveille pas le Pirate avant de partir (il est trop tôt), et c'est donc encore K. qui s'en charge.
La répartition des tâches (oui, celles-là, elles prennent un ^, pas comme les taches de vin ou de confiture, j'en ai marre de la généralisation de cette faute d'orthographe!) est donc une des clefs de ma réussite.
Bon, mais le trajet domicile-nounou-travail et retour, je suis bien obligée de le faire? Ok, là, je le fais. Et les cours, je suis obligée aussi de les préparer. Oui, mais il y a des trucs. Le travail en groupe, par exemple. Je prévois une question qui occupe les élèves la moitié de l'heure, et ensuite, on met en commun, ou bien on passe à une activité qui suit plus ou moins logiquement, mais j'ai quand même gagné du temps. Ou alors, je fais le même cours à deux classes différentes. Si ça ne dure qu'une semaine, ça passe (sinon, je m'ennuie moi-même).
Il n'y a que les copies qui sont incompressibles. Et là, j'en ai une quarantaine à corriger pendant les vacances...

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C'est Noël, le 20 octobre?

(20 octobre, donc)

Au nom de tous les gens qui sont nés à la fin du mois d'octobre, au mois de novembre ou en décembre, je proteste vigoureusement contre cette usurpation. La mairie vient de commencer à mettre la décoration de Noël en place, j'ai été accueillie hier soir par un "Joyeuses Fêtes" (pas encore illuminé, heureusement) et avec tout ça, on n'a même pas encore fêté mon anniversaire! Alors, je dis halte-là, stop aux anticipations abusives, c'est mon anniversaire, d'abord, et après on verra (avant Noyel, il y a ma fête, et aussi celle de K.). Non mais dites-donc!
Enfin, ça va, les élèves me donnaient ce matin entre 27 et 32 ans, c'est la bonne nouvelle du jour.

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81

(18 octobre)

Si je ne m'abuse, c'est le numéro qu'un dentiste donnerait à l'incisive centrale inférieure gauche qui vient de percer la gencive de Numérobis. Lequel a instantanément retrouvé des fesses roses et l'envie de babiller.
Oui, les dentistes donnent des numéros aux dents. C'est vrai que ça va plus vite de dire "18" que de préciser "dent de sagesse inférieure droite". Donc, pour un dentiste, un humain peut avoir jusqu'à 85 dents, dans la vie. Les dents définitives sont numérotées de 11 à 48, une dizaine par "quart" de bouche, et les dents de lait occupent les numéros 51 à 85, sans qu'il y ait de 67 (la molaire numéro 7 n'existe qu'à l'état de dent définitive, c'est une "dent de 12 ans") ou de 19 (ben non, il y a même des gens qui n'ont pas les numéros 8, qui sont les dents de sagesses). J'ai au moins appris ça, dans mes nombreuses heures passées sur un siège de dentiste.
A part ça, les hanches de Numérobis sont "radiologiquement normales". Mais il faudrait quand même que je ponde une note sur les protège-gonades et le professionnalisme médical, un jour...

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Exploit

(15 octobre)

Là, sous mes yeux ébahis (forcément), Numérobis vient de réaliser un exploit. A quatre mois et demi, cet enfant vient de se retourner du ventre sur le dos.
Bon, ne rêvons pas. Il ne l'a pas fait exprès. Il n'en revient pas lui même. Mais enfin, c'est un début, un jour, il comprendra qu'il faut coordonner ce mouvement de tête avec le bas du corps, et hop!
Il faudrait peut-être songer à monter le lit à barreaux, quand même.

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Gonades

(13 octobre)

Hihihi. "Radiographie du bassin de face (avec protège gonades)". Ben oui, quoi, si on lui protège pas ses coucougnettes, au Numérobis, il risque de prendre des rayons X au mauvais endroit. Mais quand même, "gonades", y a qu'un médecin pour parler comme ça. Et si je n'avais pas vu le protège-gonades en question lors de la radio du Pirate, je me serais demandé ce que c'était.
Et pourquoi on lui fait une radio, à ce bébé? Mais parce qu'il est breton, Mesdames et Messieurs (je ne sais pas pourquoi je dis "et Messieurs", je n'ai que deux lectrices...), et que chez les Bretons, les vrais, existe une possibilité de luxation congénitale de la hanche. Alors bon, ma grand-mère ne me l'a pas transmise, ça pourrait paraître loin, et puis les garçons sont moins touchés, oui, mais voilà, K. était malformé de naissance, donc nous surveillons notre progéniture. Celà dit, Numérobis a l'air tout à fait normal, et puis, le portage en écharpe permet de corriger cette malformation, donc ce sera un examen de routine.
Voilà. Et c'est tout pour aujourd'hui, parce que je suis tellement fatiguée que je n'arrive même plus à parler français. Je vous jure, j'ai dit à mes élèves "Quand vous le dites, oui, c'est comme ça, mais pas quand vous l'écrites." Shame on me!

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Il ne me mordra pas

(11 octobre)

Non, Numérobis ne me mordra pas le sein. Même s'il aura très bientôt une dent (sisi: fesses rouges + protubérance sur la gencive, on attend la dent). D'abord, parce que, quand un bébé tète, sa langue recouvre la gencive inférieure. Donc, à la rigueur, il se gratte la langue, mais il ne mord pas. Ensuite, parce que je crois bien qu'il va falloir le sevrer.
Depuis quelques temps, il souffle dans le sein, détourne la tête, et n'a pas l'air de franchement manger. Et puis, ce matin et avant-hier soir, il a fallu recourir au biberon. Monsieur ne voulait pas du sein, ou bien il n'avait plus rien à boire, là-dedans. D'ailleurs, j'ai essayé ce matin un de mes soutien-gorge d'avant, il me va. La laiterie est donc sur le point de mettre la clef sous la porte.
C'est dommage, je voulais continuer jusqu'à 6 mois. Mais bon, quand on ne peut plus, on ne peut plus. Et puis, il a déjà été allaité un mois de plus que son grand frère.
J'aurais dû, sans doute, tirer mon lait au lycée. Mais j'ai du mal, avec cet engin, et je n'aurais réussi, de toute façon, qu'à fournir un biberon par jour (il en fallait trois, au début de l'année scolaire). Sans regrets, donc.
Mais quand même un peu.

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Ah, ces hommes!

(6 octobre)

Avant hier, le téléphone portable de K. sonne pendant que nous sommes à table. Il se dirige d'abord dans une mauvaise direction (K., pas son téléphone) et n'a donc pas le temps de répondre avant que son correspondant ne raccroche.
"Ah, c'est Machin (le voisin), ça doit être important." Il rappelle de suite. On entend le téléphone de Machin sonner dans l'escalier. Croyez-vous que K. se serait levé pour continuer la conversation de vive voix? Neni, la conversation a eu lieu intégralement au téléphone, alors que les deux interlocuteurs se trouvaient à quelques mètres de distance.
Et de quoi s'agissait-il? Là aussi, l'esprit pratique des hommes se révèle.
Machin a cassé sa clef dans la serrure du grand portail. Côté intérieur. "Mais on peut ouvrir par l'extérieur, il suffit de faire le tour par le portillon et de sortir par le petit portail." Oui. On peut aussi passer par la petite porte juste à côté du grand portail. Mais bon. Pourquoi faire simple, quand on peut faire compliqué?

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Rose

(4 octobre)

"Rose, c'est ma copine." Voilà ce que nous disait le Pirate l'an dernier. Il faut dire que Rose était à peu près la seule personne de son âge qu'il voyait régulièrement, à la ludothèque ou à la garderie.
Et voilà que, une semaine après la rentrée, alors qu'il n'arrivait pas à nous donner un seul prénom de camarade de classe, il nous annonce, le soir: "L'a eu Rose, à mon école." "Rose?" "Oui, elle a pleuré. Et l'avait sa maman, aussi."
Rose? C'était possible, après tout, puisque Rose est née en 2004, et que la maîtresse avait annoncé, lors de la réunion de parents, qu'une petite fille de 2004 devait venir s'ajouter à la liste de ses élèves. N'empêche, j'ai attendu avec impatience le vendredi soir, le seul jour où je pouvais être à l'heure des mamans, pour voir.
Et j'ai vu, bien sûr, Rose, dans les bras de sa maman.
Une grande histoire d'amour commence...
A part ça, je trouve que le maîtresse était bien pessimiste, de dire qu'on aurait du mal à apprendre ce que nos chers petits font à l'école. Bien sûr, il est plus facile de connaître le menu de la cantine que le programme des activités pédagogiques. Mais, par bribes, j'ai reconstitué pas mal de choses (chansons, activités sportives, gomettes ou peinture).

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Ouf!

(1er octobre 2006)

Quand j'ai dit à K. qu'il faudrait changer mes amortisseurs, il a fait la moue et répondu qu'ils étaient encore très bien, sinon, ça se sentirait. Traduction: "Ma pauvre, tu es encore en train de te faire avoir par un garagiste."
Peut-être. Mais quand même, le garagiste a parlé de 80 000 km avec des amortisseurs, et ma voiture en a le double. Donc, même s'il exagère un peu, on a dépassé la limite. Et puis, il y a ce bruit, quand il y a une irrégularité sur la route (depuis un an, et ce bruit a évoqué pour moi rapidement un défaut d'amortissage). Et puis, c'est bientôt le contrôle technique. Et puis j'ai des sous, là, les impôts viennent de nous rembourser un trop-perçu, et nous ne nous sommes pas encore endettés pour acheter une maison. Donc, autant le faire maintenant.
Ma voiture est donc retournée au garage vendredi. Et quand je suis revenue la chercher, elle n'était pas encore prête. Non, parce que, voyez-vous, les amortisseurs étaient morts depuis tellement longtemps que les ressorts avaient souffert aussi. Et, en l'état, je risquais la crevaison à tout moment, vu que le ressort défectueux pouvait sortir de son logement à tout moment. Le mécanicien avait gardé la pièce démontée pour pouvoir me la montrer. Je suis nulle en mécanique auto, d'accord, mais là, franchement, même un clerc de notaire pouvait voir que le ressort était fendu.
A part ça, ils étaient encore bon, les amortisseurs. Hum.
Le garagiste s'est débrouillé pour avoir la pièce rapidement, parce qu'il n'aimait pas l'idée de me laisser rouler avec une voiture dans cet état. Et maintenant, le portefeuille quelque peu allégé, j'ai une voiture avec un train avant presque neuf. Je me sens beaucoup mieux.

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