Bienvenue dans l'école à la maison!

 (28 avril)

Cette semaine, donc, reprise des cours à distance pour les deux collègiens de la maison et moi-même.

Lundi, le prof de maths de sixième annonçait un cours en visio via le Qunède pour le lendemain matin neuf heures et demie. Il donnerait le lien dans le cahier de texte numérique. Je me suis demandée s'il ne fallait pas un compte, pour accéder aux services de l'enseignement à distance, mais j'ai bien relu le message, il n'en était pas question.

Le lendemain (hier, donc), à 9h25, Numérobis ayant lâché l'ordinateur familial, le P'tit Mousse s'est connecté sur l'ENT du collège. Pas de lien. 9h31, pas de lien. On patiente, on fait les exercices de français sur les racines grecques en attendant. 9h45, enfin, le prof a réussi à accéder au cahier de texte, il y a un lien. Et là, devinez quoi? Il faut un compte, au Qunède.

Donc je crée un compte, et comme Flourig est en train de se plaindre qu'on ne s'occupe pas d'elle, je mets "Fl0urigr@le" comme mot de passe. Un chiffre, un caractère spécial, des minuscules, une majuscule, tout y est. On ne me demande pas de confirmer le mot de passe. Je reçois le lien d'activation sur ma boîte mail. Je clique, je retape le mot de passe. Ce n'est pas ça. Je réessaye. Toujours pas. Ah ben c'est super, je ne sais pas ce que j'ai tapé comme mot de passe. Bon, qu'à cela ne tienne, je peux dire que je l'ai perdu. Il faut juste que je tape un nom d'utilisateur "correcte". Punaise, je suis sur un site de l'Educ' Nat, là, et j'ai une énorme faute d'orthographe sous le nez!

Une fois le compté créé et activé, je suis arrivée avec le P'tit Mousse dans une salle d'attente. Et nous avons attendu. Nous sommes retournés voir sur l'ENT du collège. Il y avait un nouveau lien pour la visio. Qui nous emmenait dans une nouvelle salle d'attente. Sauf qu'en fait, c'est dans la première que nous avons fini par être admis en cours.

Je n'ai pas autorisé l'accès à la caméra. Monsieur Maths n'a pas besoin voir ma cuisine. Il était un peu déçu de n'avoir que Stéphane avec son casque sur la tête à l'image, et du coup, il lui causait beaucoup pour savoir ce qui marchait ou pas. Mais le P'tit Mousse avait le micro pour répondre aussi et dès que le chat a été activé, il ne s'est pas privé d'utiliser cet outil. Dois-je préciser qu'il a fallu attendre 10h20 pour que le cours commence vraiment? Que je n'étais pas la seule maman planquée derrière ma caméra inactive (avec les micros, on entendait quelques commentaires)? Et qu'il n'y avait qu'une douzaine d'élèves présents, dont quelques uns sur le même poste du collège?

Bon, maintenant, une moitié de la classe du P'tit Mousse est à peu près capable de suivre un cours en visio. Ils ont vite trouvé les smileys dans l'onglet chat, et je crois qu'ils étaient contents d'avoir un peu d'interaction malgré l'absence d'images (ce qui compte, ce n'est pas de reconnaître le salon de Stéphane, c'est d'avoir le partage d'écran du prof). Quant à moi, je ne suis toujours pas convaincue de l'utilité de cet outil pour un cours de langue.

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En bref et en vrac

 (23 avril)

Ce matin, à 8h33, Jean-Mi nous a envoyé un courriel pour nous réitérer (c'est lui qui emploie ce verbe) toute sa confiance. On continue comme on sait faire, sauf que maintenant, on fermera la classe au premier cas (Jean-Mi, il fait comme si c'était comme avant, mais il n'est pas bien au courant: dans les régions les moins touchées comme la mienne, il fallait trois cas). Et la demie-jauge est imposée partout; chouette, ça ne bouleverse pas du tout l'ordre de passage des exposés de mes élèves, que j'avais eu bien soin de ne pas modifier suite à l'avancement des vacances. Je sais maintenant comment je dois procéder pour établir cet ordre.

En rangeant, j'ai retrouvé mon emploi du temps de début d'année, celui qui était devenu caduque quand les élèves sont revenus en classe entière, mais qui redevient d'actualité (on ne sait pas pour combien de temps). Ca tombe bien.

J'ai profité des vacances pour fouiller la carte mémoire de mon appareil photo à la recherche de clichés à mettre dans les albums des enfants (j'ai environ 5 ans de retard), et j'ai retrouvé çà:

Il y a bientôt deux ans qu'une petite boule de poils s'est incrustée chez nous.

Granit a bien grandi, depuis...

Elle m'observe quand j'arrache le lierre dans le jardin. C'est ma grande occupation depuis quelques jours. Sauf qu'hier, j'étais un peu trop près de la glycine. Il faut dire que le lierre pousse et s'entremêle dedans et derrière et au-dessus. La glycine, en fleurs, attire les abeilles. Et deux d'entre elles ont eu l'idée stupide de venir se prendre dans mes cheveux pourtant attachés. Comme elles n'arrivaient pas à en sortir, ça m'a énervée, et j'ai fini par me faire piquer sous le bras. Il y a toujours une magnifique plaque rouge. J'espère que je ne développe pas une allergie.

Le soir, j'ai retenté ma chance avec un foulard sur les cheveux, et figurez-vous qu'une imbécile a réussi à se coincer sous le foulard. Celle-là, elle a piqué dans l'épaisseur (comme si j'avais des tonnes de cheveux!) ou dans la pince, je ne sais pas, mais en démêlant mes cheveux (tête en bas et dehors), j'ai fait tomber la folle agonisante et son dard, pris dans un cheveu. Abeilles 1- moi 2.


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Balade en presqu'île: le Moulin du Seigneur

 (19 avril)

Après le tour de Camaret, j'ai choisi une randonnée plus courte, au départ de Roscanvel.


Ce que le nom du circuit n'indique pas, c'est que le parcours suit en grande partie la côte fortifiée à l'entrée de la rade de Brest.

Le départ se fait derrière l'église, mais sur la place de Roscanvel, où j'ai garé ma voiture, il y a une charmante fontaine Saint-Yves qui valait bien que je mouille mes chaussures pour aller la voir de plus près.

Une fois sortie du bourg, je suis arrivée très vite au fameux moulin, manifestement restauré. (Devant le moulin, à gauche, une chose rarissime sur les sentiers de randonnée bretons: un point d'eau.)

Et puis, j'ai approché de la côte. Je n'ai pas vu la mer tout de suite, mais les fortifications (Vauban) indiquaient clairement qu'elle n'était pas loin.

Comme on peut accéder à la Pointe des Espagnols en voiture, il y avait du monde dans le fort et sur les hauteurs, d'où l'on a une bonne vue sur Brest. Je suppose que quand il fait vraiment beau, on voit encore mieux la ville, mais le soleil l'éclairait tout de même suffisamment ce jour-là.

Ensuite, le guide annonçait une pente à dévaler, ce qui me paraît à la fois difficile et dangereux: le sentier étroit descend en lacets. Il se dirige ensuite vers le Sud, en longeant la côte.

Je crois qu'on voit un bunker...

A l'extrémité de la Pointe de Cornouaille, une tourelle en béton qui doit servir d'amer, et que l'on voit encore de l'autre côté:

Mais là, ce que je n'avais pas remarqué tout de suite, c'est la forification au pied de la pointe, et qui date du XVIIème siècle (Vauban, quoi...). J'ai vu des gens y descendre, mais je ne me suis pas risquée sur le petit sentier.

J'ai poursuivi mon chemin le long de fortifications de diverses périodes, et quand j'ai trouvé ce panneau, j'ai immédiatement su pourquoi le chemin estival était impraticable.

Mes pieds étaient déjà mouillés, j'ai hésité à suivre la flèche, mais le détour n'était pas long.

 

Et il était manifestement indispensable:

Comment faisaient donc les soldats chargés de surveiller la rade, en plein hiver?

Aujourd'hui, ces lieux sont investis par d'autres, qui s'en amusent.

Quant à moi, je me suis amusée de la description de mon itinéraire, qui indiquait un "pont Saint Michel". Rien à voir avec les ponts parisiens...

Et avant d'arriver à ce ruisseau traversable à pieds secs, j'avais franchi pas mal de "chemins herbeux" gorgés d'eau et envahis par la boue.

J'ai eu la confirmation que mes chaussures de sont pas étanches.

En tout cas, si je m'enfonce un peu dans un sol spongieux, l'eau peut passer par l'espace entre la languette (comment s'appelle cette partie sur le dessus de la chaussure?) et le corps du soulier,





C'est du propre!



Une dernière curiosité, à propos de Roscanvel, et que j'ai notée à la fin du circuit.

Si vous regardez bien la photo, vous verrez que la poste a déménagé, mais pas très loin: le café occupe l'ancien bâtiment des PTT.



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Centenaire

 (17 avril 2021)

Flourig a 20ans. Sur son carnet de santé, il est noté une date de naissance approximative, le 15 avril 2001.

Elle est née l'année des S. Et nous sommes de nouveau une année où il faudrait donner à un chaton ou à un chiot un nom qui commence par un S. (Mais ça vaut surtout pour les chats et les chiens de race, et c'est un système bien français.)


On peut donc considérer que ce chat a fait le tour complet du calendrier des nominations, ce qui doit bien équivaloir à un siècle de notre vie humaine. Le vétérinaire l'a d'ailleurs classée dans la catégorie des centenaires, et, pour cette raison, ne veut plus la voir.

Si cette dame ne veut plus voir mon vieux chat, ce n'est pas parce que Flourig est une vieille râleuse déagréable, mais parce que le stress du transport serait bien plus néfaste que l'oubli d'un vaccin pour un animal qui a déjà reçu plus que sa dose, paraît-il. Du moment que Granit est vaccinée, et dans la mesure ou Flourig ne sort pratiquement plus, les risques de contamination sont très limités.

Le vieux chat préfère rester sur le canapé, à côté du radiateur. Elle y a passé presque tout l'hiver. Mais, avec le retour des beaux jours, elle a retrouvé un peu de dynamisme et est remontée quelque fois dans la chambre pour un câlin. Elle a même essayer de retrouver son perchoir favori, sur mon épaule. Elle a aussi tenté quelques pas à l'extérieur. Mais, si elle aime profiter du soleil qui la réchauffe, elle est aussi très gênée par la luminosité, qui l'aveugle.

Flourig ne chasse plus et a bien du mal à se hisser sur les chaises, mais elle saute encore une distance horizontale équivalente à toute sa longueur. (Alors que moi, sans élan, je m'y arrive pas. Mais y suis-je jamais parvenue?)

Et surtout, elle n'a pas perdu sa voix pour réclamer et râler!


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Méandres du cerveau

 (14 avril 2021)

J'ai fini hier soir un livre d'un auteur néerlandais (Joost de Vries) dont l'action se passe en partie à Amsterdam.

Cette nuit, j'ai rêvé d'une messe dans une cathédrale. A la fin du rêve, j'étais dans la crypte, et une fille qui ressemblait à une de mes élèves (mais sans masque) me racontait l'histoire de cette cathédrale de Fribourg, et elle prononçait le nom dans un dialecte ou une langue germanique qui n'était pas du haut allemand*. Et puis, Granit apparaissait sur un canapé rouge et s'apprêtait à sauter sur Flourig, et je me suis réveillée, paniquée.

Et là, mon cerveau a terminé de verbaliser des associations. La crypte, c'est Gruft, en allemand. Et c'est bien sûr la même racine que le gracht des adresses amstellodamoises, gracht étant un canal. Tout ça vient évidemment de la racine grab- ou grav- (comme dans le verbe allemand graben, qui veut dire "creuser"). Et, cerise sur le gâteau, à 5 heures du matin dans mon demi-sommeil, j'y ai ajouté l'anglais grave...

Mes rêves sont inspirés de la linguistique, tout va bien. Et si mon cerveau fait des associations en langues germaniques, ça va être dur de trouver un psy...

(* le dernier axe évoqué avec mes terminales nous a emmenés en Suisse, et je leur avait passé un extrait d'une interview de Roger Federer en Schwyzerdütsch... Mais mon guide aurait bien pu avoir un accent néerlandais: je ne parle ni l'une ni l'autre langue; même l'alsacien est à prendre ne compte, dans la mesure où j'ai récemment revu des photos de notre séjour en Alsace. Fribourg est vraiment un excellent choix de mon subconscient!)

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Balade en presqu'île: le tour de Camaret

 (10 avril)

En réalité, il y a plus d'un mois que je me suis lancée dans cette randonnée de 18 km, considérée comme "difficle" par le topoguide. Elle l'est relativement, à cause des pentes raides dans les rochers sur la côte. Je ne la conseillerais pas à une personne qui voudrait juste se balader. Mais j'ai suis quand même venue à bout.

Le départ se fait à Camaret, sur les quais. Je n'ai peut-être pas pris le vrai départ, parce que je logeais dans la ville et que je débouchais sur le quai un peu en amont, mais je suis revenue plus vite, du coup...

Assez rapidement, on quitte la ville pour la dominer.

Le soleil se levait doucement, et je suis arrivée au fort du Petit Gouin, qui se visite librement.

Après quoi, j'ai franchi la première pointe (celle du Gouin, donc...)


Et j'ai poursuivi ma route vers la Pointe du Toulinguet.

Ca a l'air mignon, comme ça, mais en fait, il y a pas mal de rochers, le sentier s'y perd en montées et en descentes jusqu'au phare (domaine militaire). Il y avait beaucoup de monde, aussi, entre cette pointe et celle de Pen Hir, qu'on devine sur le photo du haut, avec les Tas de Pois.


Chemin faisant, j'ai croisé un certain nombre de bunkers, aussi. Très bien dissimulés, mais attirant les visiteurs...

Et puis j'ai fini par arriver à cette fameuse Pointe de Pen Hir.

Là aussi, il y avait du monde, et j'ai également reçu une dizaine de gouttes de pluie, les seules de la journée malgré les annonces de la météo.

En arrivant à l'autre bout de la pointe, on pouvait voir les Tas de Pois de plus près:

Ensuite le sentier était moins accidenté; il longeait des plages, jusqu'à celle de Kerloc'h où il fallait bifurquer.

Et là, mauvaise surprise dans les "sentiers herbeux": les sols étaient détrempés, et les chemins creux se transformaient en ruisseaux.

Heureusement, une partie du trajet était à découvert, il y faisait même plutôt chaud, et j'ai fini par revoir la mer.

Et même, après plus de quatre heures de marche, Camaret est apparue en contrebas.


Le topoguide annonçait 5 heures de marche, et il ne mentait pas. Je me suis peut-être un peu perdue au pied de la Pointe de Pen Hir, entre la plage et et le sentier, et puis il a fallu trouver moyen de contourner les flaques (le retour sur le sentier après la dernière photo était impraticable), mais j'ai vraiment apprécié cette randonnée.

Et le lendemain, j'étais prête à repartir...



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Jean-Mi sur des roulettes

 (7 avril)

Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon, je connais un ministre qui mettrait souvent sa vie en danger.

Alors comme ça, en France, on était trop forts, on avait réussi à ne pas fermer les écoles malgré la pandémie, bravo à nous.

Alors comme ça, si jamais on devait confiner les écoles, tout était prêt.

Donc, s'il y a eu des problèmes de connexion mardi, c'est parce qu'on a méchamment été attaqué par l'étranger.

Ah non? C'est parce que le serveur défaille, alors, c'est sa faute. (Là, le directeur du serveur incriminé dit que non, non, le ministre qui dit ça soit ne connaît pas le fonctionnement du système, soit a lu trop vite les notes de ses collaborateurs...)

Bon ben ça doit être parce qu'on n'avait pas prévu autant de connexions, alors. Les Français, ils sont tellement nuls en maths, qu'au Ministère de l'Education, ils ne savent même pas combien il y a d'élèves!

Heureusement, chez nous, tout a à peu près bien fonctionné.

Certes, Numérobis a cru jusqu'à 16h qu'on était lundi, mais du coup, il est en avance sur le travail demandé dans certaines matières, puisqu'il a fait les devoirs de deux jours.

Bien sûr, il a fallu renvoyer le P'tit Mousse vérifier le travail à faire en fin de matinée, parce que les profs n'avaient pas tout mis en ligne dès 9h.

Mais je ne vais pas leur jeter la pierre, hein. Moi-même, je n'ai rempli le cahier de texte de l'après-midi qu'à 11h. Je sais que ce n'est pas forcément pratique pour les élèves qui se font un planning dès le matin (si, il y en a, ils me l'ont dit). Mais je trouve que, du moment que le travail du jour est disponible avant midi, c'est raisonnable. Et pour ce qui est des cours du matin, j'essaie de les mettre en ligne la veille.

Et grâce à la prof de musique du collège, j'ai découvert ceci:

Une vidéo qui permet de visualiser la partition...

(Je voulais mettre la vidéo directement, mais je n'y arrive pas. Le lien vous mènera sur Tutube, sur une vidéo que je trouve très pédagogique: une couleur par instrument - et même une une pour chaque main du piano -, les aigus en haut et les graves en bas, et même une manière différente de signaler les pizzicati...)

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Une dernière fois la mer

 (5 avril)

Bon, voilà, toute la France est logée à la même enseigne, même les départements qui résistaient encore à peu près au virus. On est un peu sonnés, une partie des élèves ne trouve pas la décision très cohérente et s'inquiète pour son avenir, mais on est tous coincés chez nous. Et la première chose qu'on a faite, c'est d'aller vérifier jusqu'où la limite de 10 km nous permettait d'aller. Ouf! La librairie (indépendante) de la préfecture entre juste dans le périmètre...

Mais la mer, non. Alors j'ai profité de la matinée de jeudi pour aller la voir une dernière fois. Ca tombait bien, j'avais prévu d'aller récupérer la gourde oubliée à Camaret lors des vacances de février. J'ai donc fait une première halte sur la plage de Kerloc'h.

 Quand j'étais passée en février, il y avait des surfeurs. Mais jeudi, ils devaient être au travail; d'autant qu'il n'y avait pas beaucoup de vagues.

Ensuite, je suis revenue sur mes pas (enfin, en voiture) et je me suis rendue à Telgruc. J'ai découvert, partant du parking, un circuit de 18 km qui doit faire le tour de Telgruc. Mais je n'avais pas le temps de le tenter, j'avais cours dans l'après-midi. Alors je me suis contentée de longer la côte, au départ de la plage de Bellec.

Le sentier côtier était bordé de fleurs de printemps, il bourdonnait et gazouillait, aussi.

Et comme il faisait un beau soleil (qu'on ne voit sur les photos), j'ai croisé quelques lézards.

J'ai croisé une famille, aussi, avec trois enfants qui manifestement avaient anticipé la fermeture des écoles...

Ce grand bol d'air m'a fait beaucoup de bien, et confirme mon goût pour la marche. Si je trouve un peu de temps, je vous mettrai des photos de mes randonnées de février, histoire d'aérer un peu ce nouveau confinement.

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