(25 décembre 2024)
Sans originalité aucune, je vous souhaite aujourd'hui un Joyeux Noël!
(Enfin si, un peu d'originalité quand même dans cette crèche provenço-napolitaine...)Libellés : brève(s)
(25 décembre 2024)
Sans originalité aucune, je vous souhaite aujourd'hui un Joyeux Noël!
(Enfin si, un peu d'originalité quand même dans cette crèche provenço-napolitaine...)Libellés : brève(s)
(22 décembre)
J'avais acheté des bananes, mais les enfants ne les mangent pas, elles seront bientôt trop mûres. Alors, je me suis dit que j'allais les transformer en gâteau. Mais je n'avais pas vraiment le courage de me lancer dans une préparation compliquée.
Un petit tour sur la toile pour vérifier. Les proportions varient selon les recettes, mais il suffit de trois ingrédients. Pas de farine, donc pas de gluten. Pas de laitage ni d'oeuf.
C'est parti!
Ecraser deux bananes bien mûres.
Ajouter 100 à 150g de flocons d'avoine (j'ai misé sur 120).
Ajouter 60g de pépites de chocolat (j'ai concassé en gros le tiers d'une plaquette de chocolat à pâtisser).
Former des petits tas de pâte sur une plaque de cuisson.
Enfourner une quinzaine de minutes à 180° C.
Libellés : cuisine
(18 décembre)
Cette année, mon emploi du temps me permet d'aller à la piscine une semaine sur deux. Ce qui m'a permis d'apprendre que j'avais perdu une quarantaine d'euros en n'utilisant pas ma carte, l'an dernier, pour cause d'incompatibilité d'emploi du temps. 😢
La semaine dernière, j'ai bipé, et ce n'est qu'ensuite que la dame de l'accueil m'a signalé que, la chaudière du chauffage de ville ayant sauté, l'eau était froide. Enfin, pas glaciale non plus, puisque les bassins étaient à 27° (au lieu de 30 ou 31), paraît-il. Ils avaient bien essayé de remettre en route leur chaudière au gaz, mais ça ne marchait pas vraiment non plus...
Je me suis donc dirigée d'abord vers les douches, et j'ai constaté qu'il y avait, contre toute attente, de l'eau bien chaude. Celle du bassin était plus fraîche, mais, comme j'étais en mouvement, ce n'était pas vraiment gênant. Je n'ai fait que 30 longueurs, cependant c'est plutôt parce que l'anémie me coupe un peu le souffle et parce que je voulais sortir avant le cours d'aquagym que parce que j'avais froid.
C'est à la sortie que j'ai eu une mauvaise surprise. Il n'y avait plus d'eau chaude pour les douches. Et comme j'avais prévu de me faire un shampoing, j'ai dû faire l'admiration des aquagymnastes qui sortaient en restant sous cette eau entre 20 et 25°. D'un autre côté, quand j'étais ado et que nous allions à la piscine avec le collège, il arrivait que les douches ne soient pas très chaudes non plus (et on essayait toutes les douches pour en trouver une à la bonne température).
J'ai très bien survécu, je ne suis pas tombée malade, tout va bien (anémie mise à part).
(15 décembre)
Je traîne beaucoup trop sur la toile, et en particulier sur Tutube ou sur le Bonquwoin.
Mais parfois, j'y découvre des pépites. Par exemple, quand j'ai vu ce don de livres en allemand, j'ai regardé les photos de plus près, et découvert un Brockhaus, dictionnaire encyclopédique en 5 volumes et un atlas. D'après la couleur de la couverture, c'était l'édition de 1985, vendue entre 40 euros la collection complète et 10 euros le volume sur internet.
Moi, j'aime bien les vieux dictionnaires, alors je suis allée cherché celui-là, et j'ai fouillé un peu pour découvrir deux bouquins qui m'intéressent et un livre de cuisine. Pour Römertopf. Alors j'ai demandé s'il n'y avait pas la cocotte qui va avec, tant qu'à faire. "Si, elle est là. Donnez ce que vous voulez", me fut-il répondu. Et comme je n'avais qu'un billet de 20 euros, je l'ai donné pour repartir avec mes trésors.
Et en prime, la maison était située dans un endroit sublime, et il faisait un beau soleil.
Libellés : régions
(13 décembre 2024)
(Pour celles et ceux qui n'ont pas suivi la saison 1, il y a deux ans, tapez "ping pong" dans la barre de recherche du blog, vous aurez, en prime, un vieil article sur mes deux aînés quand ils étaient encore bien jeunes.)
Figurez-vous que je suis encore anémiée. Mais cette fois, on a fait la prise de sang pour vérifier que je l'étais, puisque la cause est évidente.
J'ai revu le gynécologue (auquel j'ai décidé d'attribuer le pseudonyme de Dr Coche, sur ce blog) à la fin du mois dernier, et je lui ai raconté la galère hémorragique du mois précédent, dont je vous épargne les détails. Bien sûr, il a procédé à un examen, et il a vu deux choses. D'abord, le kyste ovarien repéré l'an dernier a grossi. Ensuite, il y a un polype utérin (qui lui avait échappé l'an dernier); lequel est susceptible d'expliquer à lui seul des règles très abondantes.
La solution proposée par le docteur est assez simple: une hytéroscopie, pour aller retirer le polype (et le faire analyser). Comme ça, je pourrai dire que chacun de mes orifices naturels a été exploré par une caméra. Le médecin a prétendu que "l'hystéroscopie, c'est la coloscopie du gynécologue", ce qui ressemble tout de même beaucoup à une fanfaronnade, dans la mesure où un utérus est beaucoup moins long qu'on colon, d'une part, et où la préparation du patient est beaucoup moins chiante compliquée, d'autre part. Mais si ça lui fait plaisir...
Et pendant que je serai sous anesthésie générale, il va procéder aussi à une "annexectomie bilatérale sous coelioscopie", c'est-à-dire qu'il va passer une caméra par le nombril (orifice certes naturel, mais normalement fermé depuis la naissance) pour retirer les deux ovaires. J'ai failli demander pourquoi les deux, alors qu'il n'y a qu'un kyste, mais j'avoue que ça m'arrange un peu, parce que sans ovaires, plus de règles, et on verra bien si la ménopause est désagréable.
L'anesthésie est programée juste avant les vacances de février, comme ça je pourrai me remettre tranquillement (il semblerait que les suites opératoires d'une coeliscopie ne soient pas fort agréables). Le rendez-vous avec l'anesthésiste est pris, et j'ai déjà les ordonnances pour après l'opération. Cette fois, pas question de me laisser seule chez moi le soir même, je passerai donc la nuit à la clinique.
(L'art de casser la monotonie d'une façade par les fenêtres) |
Libellés : santé
(8 décembre)
Bien sûr, les professeurs peuvent manger à la cantine. A condition d'avoir une carte de self pour payer leur repas. Dans le lycée du haut de la côte, les plats sont généralement bons, et il y a souvent de très bons desserts (vendredi dernier, c'était Paris-Brest ou Forêt Noire, qui dit mieux?).
Pourtant, comme un certain nombre de mes collègues, j'avais pris l'habitude d'apporter ma gamelle, et de faire réchauffer des restes dans la petite salle attenante à la salle des professeurs. Peut-être avais-je l'impression que les plats de la cantine étaient trop copieux.
Cette année, je continue à apporter mon manger, et à vrai dire c'est bien pratique, le mardi, quand je n'aurais de toute façon pas le temps de déjeuner à la cantine. Mais le vendredi, ça m'ennuie de trimballer ma gamelle depuis le lycée du bas de la côte vers le haut, quand je fais le trajet à pied. Et j'ai donc réapprovisionné ma carte de self, et redécouvert les joies de la queue (écourtée, les professeurs passant devant les élèves) et des bons petits plats. C'est tellement plus agréable que de se contenter des restes de ma pière cuisine!
(4 décembre)
Les magazines féminins ne savent plus quoi inventer. Je découvre, dans l'un d'eux, fourni avec le journal du dimanche, que tout le monde pourrait souffrir
d'amnésie
des
fessiers.
Ca vous fait rire? Moi aussi.
La définition de ce mal de la sédentarité, c'est quand une personne n'arrive plus à contracter volontairement ses muscles fessiers.
A ce moment de la lecture de l'article, j'avoue que je me suis levée et que j'ai vérifié que je ne souffrais pas d'amnésie. Mais je vous rassure, tout va bien.
Il faut dire que l'un des moyens d'échapper à cette pathologie est de monter au moins trois escaliers par jour.
Trois "escaliers"? Cette nouvelle dénomination, déjà rencontrée dans un autre article, me laisse perxplexe. Est-ce qu'on parle d'étage, ou véritablement d'escalier, ou encore de nombre d'ascensions?
Parce qu'un escalier, on peut le monter sur un seul niveau, ou sur deux, ou sur douze, et l'effort fourni n'est évidemment pas le même.
Personnellement, quel que soit l'établissement dans lequel je travaille, je suis obligée de réaliser au moins une ascension par jour.
Mais, alors que dans l'établissement du bas de la côte, je monte systématiquement trois étages (sans compter celui qui mène à la salle des professeurs, où je m'arrête en passant), dans celui du haut de la côte, un seul étage me mène à destination.
Ce qui veut dire que, le mardi, je monte trois escaliers (dont un en deux étapes, donc, avec cet arrêt au stand en salle des professeurs), mais huit étages.
Et en plus, je grimpe la côte entre les deux établissements.
(Et bien sûr, je redescends, mais manifestement, cela ne compte pas.)
Et je n'ai pas tenu compte de l'escalier qui, chez moi, mène à l'étage de la salle de bain.
Autant dire que mon postérieur ne risque pas de perdre la mémoire.
(premier décembre 2024)
Je donne mon sang. Une seule fois par an, à cause de mes veines fines qui roulent et de mes soucis d'anémie.
Je donne mes vieux vêtements, quand ils ne sont pas trop usés, et ceux de mes enfants, quand ils sont trop petits.
Je donne à des tas d'ONG et associations.
Je donne des renseignements, quand une personne un peu perdue m'aborde dans la rue.
Je donne à la Banque alimentaire, chaque année.
Je donne mon avis, parfois aussi quand on ne me demande rien, il faut bien le dire.
J'ai donné de vieux jouets, j'ai donné quelques livres.
Descente en rappel de la cathédrale Saint-Corentin, pour le téléthon. |
(Et ça m'a agacée de voir, en retournant à ma voiture, quatre ou cinq manifestant·es se plaindre que le téléthon finance la torture animale; parce que, peut-être, la recherche utilise encore des cobayes animaux. Mais y a-t-il d'autres possibilités pour développer des médicaments, en dehors des cobayes humains?)