Pedibus
(14 novembre)
Les deux établissements où je travaille sont proches. Il n'y a qu'un bois pour les séparer, et guère plus de 300 m à vol d'oiseau. C'est un avantage, parce qu'on peut faire le trajet à pied. Et un inconvénient, parce que les adjoints ont pu s'autoriser à me faire un emploi du temps avec des va-et-vient.
Le mardi, je commence à 8 heures en bas de la côte, puis je monte faire cours de 10 à 12 dans le lycée du haut, et il faut que je sois redescendue pour 13 h 05. Je passe systématiquement par le bois pour monter. Et hier, le chemin était très agréable.
(Et non, à 9 h, le soleil n'a pas fini de se lever, à l'ouest!) |
De toute façon, je descends le plus souvent aussi par la forêt. Et hier, j'ai constaté une différence entre l'aller et le retour.
Bien qu'au milieu des arbres, ce chemin est entretenu par la mairie, qui y ramasse régulièrement les feuilles.
Et puisque je suis dans les photos préfectorales d'automne, j'en profite pour en ajouter une, prise la semaine dernière, quand j'ai enfin eu l'idée de profiter des deux heures de trous de mon emploi du temps pour aller faire un tour (et une course) au centre-ville.
Personne sur la place devant le théâtre et derrière l'ancien couvent des Ursulines, reconverti en médiathèque. A gauche, l'un des bâtiments d'une ancienne caserne, et, derrière la médiathèque, le clocher de l'église Saint-Mathieu.
4 Commentaires:
Joli chemin des "écoliers" ;-)
Un peu austère, cette place, mais j'aime bien.
Belle soirée !
Encore oublié de m'identifier ...
Moi aussi j'irais par le bois.
Béatrice, en même temps, entre une caserne et un couvent, la place ne peut être qu'austère (il y a un parking dessous, ce qui limite les possibilités en matière de plantations).
Mme Chapeau, sauf en cas de tempête, c'est le meilleur itinéraire, je trouve.
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