Comme son frère?
(26 mars)C'est vendredi après-midi. Il fait beau, je suis dans le jardin, en train de
Je regarde quand même d'où vient l'appel. "Ecole maternelle". Aïe. C'est l'heure de la récréation avant les TAP. Peut-être qu'ils se demandent juste si je ne vais pas venir récupéré le P'tit Mousse comme la semaine dernière, quand il était malade?
Je rappelle. Le P'tit Mousse est tombé violemment sur la figure, il saigne beaucoup du nez, Ch*** (l'ATSEM de sa classe) est en train de compresser, mais si je suis à la maison, c'est peut-être mieux que je vienne le chercher. J'arrive, je suis là dans un quart d'heure.
Quand j'arrive à l'école, les enfants sont encore dans la cour (elle est longue, la récré!); l'ATSEM reconnaît la voiture et vient déverrouiller la grille. Le P'tit Mousse est là, la figure toute égratignée et le nez enflé, saignant toujours un peu. "Il n'a pas perdu connaissance", me dit Ch***. Mais quand même, il a une drôle de tête, et puis, vu les antécédents familiaux, je préfère l'emmener aux urgences. Il faut juste que je puisse récupérer aussi Numérobis, puisque nous ne serons évidemment pas de retour avant la sortie de l'école. Il va être ravi, le vendredi, c'est TAP échecs, et l'animateur manque de pédagogie.
Ch*** appelle au primaire, comme ça le "directeur des TAP" m'attend et m'ouvre la porte, et nous repartons, sous les regards intrigués des camarades, direction la polyclinique (parce qu'aux urgences du CHIC, on peut attendre longtemps). En chemin, je me demande si je dois aller chercher aussi le Pirate au collège (il est en permanence en attendant de pouvoir prendre le car scolaire), et puis je me dis que je n'ai pas envie d'avoir avec moi trois enfants dans la salle d'attente. Je l'appellerai quand il sera rentré à la maison pour lui expliquer, si besoin.
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