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Piliers de... médiathèque

(12 février)

Le premier lieu public dans lequel j'ai inscrit le Pirate, en dehors de la crèche, était une médiathèque. La première chose que nous avons faite en déménageant en Bretagne a été de nous inscrite à la médiathèque associative municipale. Depuis, nous avons figuré dans le journal pour l'article de rentrée de cette association. Et puis nous avons déménagé, nous sommes restés fidèles à "la médiathèque près de l'école", et nous nous sommes inscrits aussi à celle de notre nouvelle commune. Aujourd'hui, les deux grands réclament de passer à la vitesse supérieure, soit la médiathèque de la Préfecture.
Pourtant, nous sommes bien, dans nos petites médiathèques. On nous y connaît. Ainsi, quand je suis allée il y a un mois demander, à celle près de l'école, si par hasard ils n'auraient pas la suite de Coeur d'encre (parce que j'ai lu le tome 1 en allemand, mais que j'hésitais à me payer le deuxième volume, théoriquement le moins bon de la trilogie, et que je ne peux pas avoir la version allemande sur mon quindel, donc, quitte à le lire en français, autant voir d'abord si on peut l'avoir gratuitement), la bénévole était ravie que je lui procure d'un coup deux nouveaux titres pour adolescents, et elle a commandé illico Sang d'encre et Mort d'encre; je vais donc pouvoir finir tranquillement la série. Il y a deux semaines, quand la dernière commande est arrivée, il y avait aussi des livres Starouarz, que la bénévole du jour s'est dépêchée de couvrir pour que Numérobis puisse repartir avec.
Dans l'autre médiathèque, c'est le Pirate qui s'est fait repérer. Il a emprunté les BD du défi lecture du collège, et puis un des volumes de U4 (ah ça, c'est une série pour adolescents qui m'intrigue, parce que les quatre histoires sont écrites par quatre auteurs différents), et quand il l'a rendu, la bibliothécaire lui a proposé de lui mettre de côté un deuxième tome, qu'elle était en train de lire (il n'y a donc pas que moi qui lis des romans jeunesse, même si elle, c'est son travail de lire des bouquins pour enfants et adolescents).

Libellés : enfants, humeur, service public

Rédigé par Bismarck @ 4:48 PM