La petite phrase (qui tue) du lundi

(11 juillet)

Lorsque j'ai passé l'agrégation d'allemand, j'ai eu d'excellentes notes à l'écrit. En tout cas assez bonnes pour me permettre d'être encore reçue malgré ma dégringolade à l'oral (la fille qui était juste devant moi à l'écrit, elle, n'a pas été reçue). En dehors de l'épreuve de linguistique et de celle de version, je n'ai eu que des notes catastrophiques, comprises entre 0.5 et 2.
Il ne faut donc pas vraiment s'étonner si, après la proclamation des résultats, une de mes profs de fac (j'en avais deux au jury) est venue me voir pour me féliciter et ajouter que ce serait bien que j'apprenne à parler allemand (sans faute), maintenant.

Libellés : , ,

2 Commentaires:

At 5:32 PM, Anonymous Mentalo a bien voulu donner son avis...

Crois-tu qu'on arrive un jour à parler cette langue sans faute un jour? C'est pas faute (sic) d'essayer pourtant. Je m'agace toujours moi même, après autant d'années.

 
At 10:17 AM, Blogger Bismarck a bien voulu donner son avis...

Oui mais bon, moi je suis censée l'enseigner...

 

Enregistrer un commentaire

<< Home