Mon objet de l'été
(15 août)Certaines ne peuvent pas passer l'été sans lunettes stylées, paréo ou crème solaire. D'autres ont absolument besoin des dernières sandales à la mode, avec le vernis qui va bien sur les doigts de pieds. Il faut à l'une son chapeau de paille, à l'autre son appareil photo (ou mieux, son téléphone intelligent) dernier cri.
Aucun de ces objets ne me paraît indispensable. A vrai dire, en dehors de la crème solaire, je me passe de presque tous. Mais il me faut absolument une pince à épiler. Je suis capable de passer de longues minutes à traquer les repousses sur mes jambes blanches. Variant les angles et la lumière, pour mieux piéger, en lumière rasante, les petits malheureux pratiquement invisibles et les éliminer aussi bien que les pointes bien foncées. Cela fait des années que j'entretiens ainsi des mollets presque impeccables tout au long de l'été. Il ne se passe pas deux jours sans que je saisisse ma pince pour me défaire de quelques petits picots sentis sous mes doigts.
En dehors des pattes, je traite le "maillot" avec presque autant de régularité (et plus de discrétion); en revanche, les aisselles ne peuvent bénéficier d'un tel entretien, et, je l'avoue, j'ai du poil sous les bras...
Libellés : humeur
6 Commentaires:
Moi c'est le coupe ongles ... mais pas pour les poils !
J'ai longtemps été comme toi, et puis... ça m'est passé, alors j'ai du poil même aux pattes :-) mais court quand même
oula... je crois qu'à ma grande honte, que ce soit l'été ou non, je ne peux pas me passer de mon portable...
sinon, l'été, crème solaire et lunettes de soleil obligatoires vu ma peau de rousse ^^
Ah, mais crème solaire, on y pense aussi.
Et il m'arrive d'aller à la piscine avec du poil aux pattes: il y a bien un moment où il faut laisser repousser avant tout (faire) arracher proprement!
pouaaaa
je trimballe aussi partout ma pince... mais je suis loin d'avoir le mollet impeccable.
en revanche va savoir mes aisselles le sont elles... étrange.
Mon bidule indispensable, été comme hiver, ce sont mes lunettes de soleil. sinon, je pleure.
Mon objet de l'été c'est deux objets indissociables sinon je ne me sens pas en vacances : une bouteille d'eau et un livre que je trimballe partout.
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