Les incontournables de Noël

(Ben quoi, on est déjà le 14 janvier?)

Les incontournables à manger:
- le foie gras cuit maison de ma maman;
- les fruits de mer, mets quasi-exclusifs du repas chez mes beaux-parents (ah si, il y a eu un petit peu de salade, à la fin);
- la brioche des rois au petit déjeuner, chez mes beaux-parents (même que mes enfants ont mangé les fruits confits, dites donc!).

Les inévitables cadeaux:
- le chocolat, cadeau obligatoire chez mes beaux-parents; tout le monde offre une boîte de chocolats à tout le monde, sauf nous (qui ne faisons qu’en recevoir), parce que K. n’aime pas le chocolat, braudel! Surtout le chocolat au lait, ou les papillotes bas de gamme. Je me demande si je ne vais pas essayer d’interdire, au nom des caries du Pirate, les cadeaux chocolatés, l’an prochain…
- le cadeau moche / en plastique / bruyant / salissant pour un des enfants. Celui de l’an dernier a été malencontreusement égaré lors du déménagement. Non mais je préfèrerais l’absence de cadeau (ils ont déjà trop de jouets) à la cochonnerie achetée en dernière minute, hein! (Oui, c’est comme le chocolat, je préfère la qualité à la quantité, moi…)
- le livre offert par mon papa. Pour chaque membre de la famille, mon papa s’efforce de trouver un livre en rapport avec ses centres d’intérêts. Une année, il avait été très déçu parce que mes sœurs et moi avions deviné aux initiales apposées sur les paquets ce qu’il y avait dedans (le mien portait « G », comme Goethe). Il tombe rarement à côté.
- les chaussettes de ma maman n’étaient pas sous le sapin, cette année, pour la première fois depuis très longtemps. C’est dommage, j’aurais bien eu besoin d’une paire de chaussettes vraiment chaudes.

Les incontournables maison:
- le chauffage à 20° minimum chez mes beaux-parents. Avec deux couvertures en plus de l’édredon sur le lit, au cas où on aurait encore froid, la nuit. C’est bien simple, quand j’arrive dans la chambre, la première chose que je fais, c’est de baisser le thermostat du radiateur. Et ma belle-mère gronde les enfants qui arrivent sans robe de chambre au petit déjeuner.
- la couette utilisée comme une couverture, chez mes parents: ma mère persiste à mettre un drap (en flanelle) sous la couette; et éventuellement une couverture.
- les feux de cheminée qui fascinent les enfants. Mon neveu a d’ailleurs un comportement limite dangereux (pour lui) avec le feu.
- les serviettes trop petites, chez mes beaux-parents. Non mais elles doivent faire 60x120 cm, leurs serviettes. Déjà, en temps normal, je trouve ça un peu juste. Alors imaginez avec mon gros ventre...
- le lit au ras du sol, toujours chez mes beaux-parents. Et en plus, K. me laisse dormir du côté du mur. C'est drôlement commode, pour se relever, tiens!

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2 Commentaires:

At 7:15 PM, Blogger Moukmouk a bien voulu donner son avis...

se relever à partir du sol avec les douze pipis règlementaires des filles à gros ventre... terrible.

 
At 9:16 PM, Blogger Bismarck a bien voulu donner son avis...

Heureusement, je ne me lève que deux fois par nuit, au maximum...
Mais il est vrai que là-bas, ça relève de l'acrobatie (parce qu'en plus, il faut éviter les poutres).

 

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