Tant pis pour le défi photo
(14 décembre)
Virginie avait proposé "pensée", pour son défi photo, mais cela ne m'inspire guère. J'aurais pu essayer de faire un "deux en un", comme dit Bleck, avec le calendrier de l'avent des blogopotes. Mais j'ai choisi de n'illustrer que le thème d'Anne, qui est "cocon".
Si cette suggestion était arrivée plus tard (et peut-être beaucoup plus tard, l'assurance me faisant quelques misères), j'aurais pu vous montrer le cocon que j'imagine dans la maison que je vais peut-être finir par habiter un jour.
Mais en attendant, il faudra vous contenter du cocon de brouillard que la nature a déposé ce matin autour de chez moi:
Je ne sais pas trop pourquoi, j'ai tendance à considérer le brouillard comme une enveloppe protectrice. Je n'ai pas peur de ce qui pourrait en surgir. Et les animaux commettent la même erreur: on en croise beaucoup plus facilement, à l'abri de ces goutelettes d'eau.Même le clocher se cache:
(La cloche qui sonne les heures est toujours là, elle a frappé dix coups à mon passage.)Libellés : régions



4 Commentaires:
Je peux commenter façon Schtroumpf Grognon: moi, je n'aime pas me déplacer en voiture quand il y a du brouillard; je peux aussi vous parler de mon amie lIA de G♦♦gle qui aujourd'hui me parle d'une église remarquable par son clocher à double chambre de cloche mais mes pensées vont vers Virginie et vers vous et l'assurance qui vous fait des misères.
Ici aussi brouillard...
Temps de brouillard, étrange atmosphère en ce qui me concerne enfant, je me souviens de balades sur les quais glissants d'humidité à la nuit tombée et de la corne de brume au loin sur la jetée là-bas... et je n'aurais pas aimé être en mer.
Bleck
Chez moi aujourd'hui c'étaient les hautes tours d'une cité "hlm" qui avaient disparu ! Je n'ai pas pensé à pousser jusqu'au centre ville pour vérifier si le clocher était encore à sa place...
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